Organisée en trois parties, Carte à puce. Une histoire à rebonds présente des objets patrimoniaux rarement exposés (prototypes, cartes à puce anciennes ou actuelles etc.). De ses différentes applications aux secrets de sa fabrication, découvrez l’histoire d’une technologie pleine de ressort.
Les puces, elles sont partout !
C’est l’utilisation de cartes pour téléphoner, pour payer ou retirer de l’argent, qui a permis l’émergence de la carte à puce. Ces applications mettent en effet à l’œuvre les fonctionnalités élémentaires de la carte à puce : comptage d’unités, mémorisation et traitement de données, identification et authentification.
Ces fonctions, et la sécurité offerte par le composant électronique embarqué, vont motiver l’emploi de la carte à puce dans de très nombreux autres domaines, de la santé au transport, des titres d’identité officiels à la télévision à péage.
Une histoire pleine de rebondissements
À la fin des années 1970, les industriels français et étrangers cherchent à créer une carte de paiement sécurisée en y insérant une puce programmable. C’est pourtant la téléphonie qui lancera véritablement l’industrie de la carte à puce, avec l’installation, en France dès 1984, de publiphones à carte.
La deuxième section de cette exposition-découverte vous entraîne sur les traces des pionniers de la carte à puce tels Roland Moreno ou Michel Ugon et vous raconte l’émergence de cette industrie hors du commun.
Une technologie aux multiples facettes
La dernière partie de Carte à puce. Une histoire à rebonds. révèle le fonctionnement de cette « forteresse de poche » qu’est la puce.
Petit voyage au cœur du visible (l’objet) et de l’invisible (ses fonctions), cette section montre aux visiteurs la « merveille de technologie » qu’est la carte à puce. Dans chacune d’entre elles se cache un véritable petit ordinateur !
Sous le thème "Carte à puce - Une histoire à rebonds", l’exposition, sponsorisée par Gemalto et Oberthur Technologies,